doctorante en psychologie, aspirante FRESH (Fonds pour la recherche en sciences humaines)
Bien qu’ils évoluent avec le temps et les cultures, les rites funéraires sont pratiqués par tous les êtres humains depuis environ 100 000 ans. Les conditions d’empêchement sont rares et l’effet de leur privation sur le deuil, bien que supposé évident, est inconnu. La période de pandémie et de restrictions des pratiques funéraires nous a permis d’étudier les effets de leur absence chez les personnes endeuillées et de mieux comprendre le rôle qu’ils jouent dans le processus de deuil lorsqu’ils peuvent être (...)