assistante sociale et licenciée en politique économique et sociale, travailleuse socio-thérapeutique à l’unité de court séjour du centre médical Enaden
Le contexte dans lequel ce texte a été rédigé est celui d’une réunion clinique dont le thème était « Le temps qu’il faut ». Un thème qui invitait à réfléchir sur la question des prises en charge longues ; prises en charge qui interrogent inlassablement notre position dans le travail : comment continuer à accompagner ces patients ? J’ai alors souhaité saisir l’occasion qui m’était donnée de défendre l’idée que ce type de prise en charge s’avère, le plus souvent, fondé. C’est en partant du rapport de la (...)