journaliste à L’Avenir.
Rendre les soins de santé accessibles, promouvoir la prévention, identifier une population, responsabiliser... Pour atteindre ces objectifs, le forfait à la capitation est-il la bonne méthode de financement ? La question a été longuement débattue au congrès. Le médecin qui pratique le forfait aurait le cœur sur la main. Le généraliste à l’acte verrait des dollars défiler dans ses yeux en fonction de l’affluence dans sa salle d’attente. Caricature ? Certainement. Mais, oui, on exerce son métier (...)